Une aventure de groupe extraordinaire proposée par Marie-Paule de Bas-en-Basset
Quand la possibilité de vivre une nouvelle aventure sonne à votre porte, il serait absurde de ne pas quitter ses charentaises. Marie-Paule, une grande amie d’Altilimag, tenait à nous faire découvrir une partie du patrimoine historique de son petit coin de paradis altiligérien. Nous ne nous sommes pas fait prier plus longtemps, nous avons chaussé nos crampons et suivi notre guide survitaminée sur les traces des mines de fer de Bas-en-Basset.
Serrez vos plumes, Bruno déploie ses aigles.
Bruno Habauzit, comme un Gaulois, est tombé dedans quand il était petit ! Ébahi devant la beauté de ces oiseaux si particuliers et enivré par une première expérience à l’âge de 8 ans, il a su dès cet instant magique que la fauconnerie
serait le fil conducteur de sa vie. Il nous présente avec passion son amour pour les rapaces et ce qu’ils ont de si important à nous apprendre d’eux.
Ce n'est pas tous les jours que nous sommes invités à visiter les dessous de La SLIP.
C'est vrai que le nom de cette joyeuse troupe est de prime abord confusant, mais il ne faudra pas vous laisser aller à l'euphorie d'un jeu de mots laid. Nous avons pu participer, le temps d'une soirée très expressive, aux retrouvailles post-confinement des membres de La Sympathique Ligue d'Improvisation Ponote – La SLIP. Croyez-nous, l'aventure a été si intense que larmes de joie et de rire étaient au rendez-vous.
Rudolf Harywald fait de sa volonté un soc d'acier et forge un sillon artisanal altiligérien.
Brut de trempe, C45, XC75, annuler les stress, traitement thermique, normalisation... D'emblée, le ton du bal de Rudolf est donné. Nous sommes à la fois à l'usine, en pleine science-fiction, au moyen-âge et dans les codes confidentiels d'un nouveau modèle automobile.
Cette année, l’équipe Altilimag s’est lancée un savoureux défi ; attendre les premiers flocons et manger une raclette en mode climat extrême.
L’hiver est peu propice aux randonnées familiales que nous vous proposons habituellement dans Altilimag, alors nous avons eu l’idée de vous montrer que même dans les frimas de l'hiver, il est possible de s’inventer une histoire et de la transformer en une expérience givrée.
Nous sommes allés à la rencontre d’une artisane atypique qui pratique le métier de vitrailliste. Un métier hors du commun et assez rare sur le territoire altiligérien pour que cela nous ait intrigués et donné l’envie d’aller voir de plus près ce qui rayonne autour de ce métier d’art.
Élisabeth Cuffel, animée par les couleurs depuis toujours, ne peut imaginer sa vie sans l’essence chromatique qui l’entoure. C’est lors d’une rencontre avec une vitrailliste qui exposait à la célèbre fête ponote du Roi de L’oiseau, que le déclic s’est produit. Elle décida alors d’allier son besoin continuel de couleur et ce nouvel art qui se propose à ses yeux.
Tout vient un jour, mais souvent pas assez tôt.
Ce ne sont pas des regrets intimes, mais Calliope, céramiste talentueuse, aurait aimé travailler la terre bien plus tôt dans sa vie. Après avoir "bourlinguer" entre la Grèce, son pays d'origine et la France, elle découvre, en 2004 à Lyon, la peinture sur porcelaine. Immédiatement séduite par ce contact créatif qui libère chez elle toute l'endorphine dont elle a besoin, elle multiplie les stages d'apprentissage et s'aperçoit très vite que sa soif d'apprendre risque de rester inassouvie si elle ne se cantonne qu'à peindre la matière.
C’est à Brioude que nous sommes allés découvrir les créations d’artisans d’art dans la boutique Escandilha.
Amis de longue date et tous amoureux de l’artisanat d’art, ces créateurs talentueux ont fondé une association commune : Artisans d’Art du Val d’Allier - AAVA. Grâce à cette entité, ils ont pu mettre en place une boutique au cœur de la ville de Brioude, Escandilha est alors née. Cette boutique, dont le nom très poétique signifie en occitan "le rayon de soleil qui perce les nuages après la pluie", permet aux onze amis de regrouper leur créativité dans un lieu unique où il fait bon déambuler.
Admiration de la nature autour d'un étang figé dans la glace et du Mont Gerbizon surplombant le château d'Artias.
Nous avons eu le plaisir de rencontrer, à sa demande, Nathan Ploton. Ce dernier a découvert Altilimag et a souhaité prendre part à cette belle aventure qu'est notre magazine. Altiligérien convaincu, il connaît bon nombre d'endroits naturels, de lieux insolites, de sites remarquables de Brioude aux confins du sud-est du département. Pour sa première avec nous, il a décidé de vous faire (re)découvrir l'Étang de la Plaine à Beaulieu et le Mont Gerbizon, au point de vue étonnant et impressionnant.
Il existe des sensibilités qui nous sont étrangères, souvent ressenties, mais rarement ostensibles.
C'est là que tout commence, l'émulsion se fait ici, en grande partie grâce au village et ses habitants. Vinciane Liners nous a ouvert ses portes à Saint-Privat-d'Allier. Elle décode pour nous la manière dont certaines sensibilités forestières se manifestent lorsqu'elle explore le magnétisme des rives du Rouchoux, ruisseau de son état, mais non moins tumultueux par son énergie débordante.
Un voyage passion de fil en fil de fer
Nous voici à Raucoules dans le show room de Florence. Nous avions rencontré cette artiste à Tence lors d'un marché artisanal et nous avions été très intrigués par son talentueux travail du fil de fer. Dans son atelier qui est aussi le siège de sa microentreprise créée en 2021, s'affichent aux murs l'ampleur de son patient travail et ses nombreuses idées créatives. Diplômée des Beaux-Arts et technicienne hors pair dans la lingerie féminine c'est de ce savant mélange de savoirs et de son intense créativité qu'est née sa passion pour cet art atypique. Lors d'un concours artisanal dans le Puy-de-Dôme, Florence a décroché le 2e prix du public par le jury et a vendu son œuvre qui représentait le château du village où a eu lieu la compétition. Un encourageant envol pour continuer dans cette voie artisanale de reconversion.
Le Château du Thiolent.
Juliette Crouzet de l’agence ARKHES gère, entre autres choses, la communication de quelques châteaux privés locaux, peu connus, voire méconnus en Haute-Loire.
Elle nous propose une aventure anticonformiste que nous avons promptement acceptée afin de conjuguer nos expériences altiligériennes.
Le tourneur sur bois Dominique Rochet sublime les essences et ambiance la lumière.
Céaux d'Allègre, vous connaissez ?
Ou plus exactement Maméas Bas ?
C'est dans ce petit bourg que nous avons fait la rencontre la plus lumineuse de notre jeune existence rédactionnelle. Dominique, dans son atelier pas comme les autres, saisit la vie du bois et en exalte la lumière avec beaucoup de poésie.
Clément vous invite un instant à découvrir son amour pour le cuir au travers de son univers.
Perché sur les hauteurs de la Loire à Saint-Pierre-Duchamp, il y a un petit terrain privé sur lequel notre nouvel ami Clément a posé pendant deux semaines son échoppe ambulante. C'est ici que son imagination fertile fait naître, de sa matière fétiche le cuir, des sacs, des ceintures,
des pochons, des bracelets et moult splendides confections.
Le Suc du Lizieux
Le Suc du Lizieux au coucher du soleil d’été est un spectacle saisissant.
La beauté extraordinaire qu’offrent les couleurs fluctuantes dans ce paysage unique et grandiose, vous couperont le souffle.
Mais ce Suc si atypique, regorge de bien d’autres trésors visuels.
Au départ du parking du Chièze suivez-nous pour une ascension
au cœur d’une nature séculaire...
Une jolie randonnée au cœur
de collines et de sucs.
Entre hameaux de charme, sous-bois rafraîchissants et vues spectaculaires, profitez de l'Emblavez comme jamais vous ne l'aviez vu auparavant. Une randonnée familiale avec très peu de difficultés.
Aucun doute possible, la Haute-Loire a son inimitable génie
Vous le savez, chez Altilimag, nous ne croyons plus depuis longtemps aux hasardeuses rencontres. Le tissu artisanal local est d’une telle richesse que nous remercions tout particulièrement les passionnés que nous avons découverts et dont nous vous avons conté les talentueuses aventures.
Une fois de plus, nous avons été dirigés vers un artisan par la voix d'un autre. Il faut le croire, c'est là toute l'essence de la définition du mot entraide locale.
Au-dessus des remparts naturels, une Collégiale romane illumine un village médiéval atypique.
Déconfinés que nous sommes et des fourmis plein les jambes, nous avons quitté notre Vivarais-Lignon pour des contrées plus au nord, à la rencontre des contreforts du Livradois-Forez, frontière du Brivadois. Citadelle d'Auzon, nous voilà !
Des insectes peu ordinaires et pourtant si fragiles ; rencontre avec Label Ruche au Puy-en-Velay.
Tout le monde le sait ! Aujourd’hui plus que jamais nous devons sauver nos abeilles, il en va de notre bien-être et de notre avenir ! Chacun y va de sa veille personnelle, mais qui est en mesure d’apporter des solutions pérennes pour la préservation de nos petites bêtes ? Nous avons rencontré Aurore et Frédéric TREILLE, les créateurs de Label Ruche au Puy-en-Velay. Frédéric passionné de toujours par ces “petites bêtes qui piquent” passe à l’action. Si pour beaucoup il est un apiculteur comme les autres, il n’en met pas moins son énergie au profit de la préservation de cet insecte endémique. Mais nous sommes loin de sa vision des choses et du déploiement d’actions que lui et son épouse Aurore ont su mettre en place pour que tout un chacun puisse, lui aussi, venir en aide à cette indispensable créature volante.
Nous avons donné la parole à Sami, un altiligérien pure souche.
Dans un petit hameau du Mazet Saint Voy, perché au pied du Lizieux, nous avons rencontré Samuel dit “Sami”. Un homme passionné par l’Histoire de France qui a des ascendants depuis Henri IV en 1580. Il dispose même d’un cahier très complet rassemblant toute sa généalogie familiale. Mais il est surtout un homme qui aura vécu toute sa vie dans cette bourgade de Haute-Loire.